Any Questions? Call Us: +91 87000 70126

Deux jours dans le désert en Inde, Un français partageant son expérience de voyage dans le désert du Rajasthan

« Lorsque la nature fait le vide en toi, tu peux entendre le ciel et les étoiles te parler… Ecoute, tout simplement… »

J’ai finalement renoncé à mon trek pour ce week-end. Personne pour m’accompagner à 3600mètres, une mousson qui gâche le paysage… reporté ! Mais je ne vais pas manquer de profiter de ces mini-vacances ! Encore trois jours, on ne sait plus qu’en faire !?Je commence à avoir besoin de me poser un peu… mais pas cette semaine. Demain, je pars en train. Où ? Loin, je n’aurais pas toujours l’occasion de profiter de trois jours ! Mais en s’y prenant la veille… Je tente toute les combinaisons possibles avec un départ vendredi soir et un retour mardi matin et trouve finalement une ville : Bikaner.

Après quelques recherches sur Internet, il se trouve que cette ville évitée par les touristes constitue la porte du désert du Thar… ou se trouve en son cœur, selon les sources. Nous verrons bien. C’est parti!

Mais les réservations en ligne s’avèrent plus compliquées que prévu (merci HSBC ! Et bien sûr, mes conseillères sont en vacances !?Sans rancune) et je me retrouve avec finalement un aller simple.

Tant pis, je volerai un chameau!

je ne quitte chez moi, sans aucune idée de la distance de la gare qu’une heure et demie avant le départ du train C’est la panique ! Trois changements de ligne de métro, quinze arrêts, une foule toujours aussi nombreuse qui se tasse dans un escalator triple de cinquante mètre de long impressionnant (il n’y a pas d’escaliers, qu’est-ce que ça doit être quand il est en panne !), un chauffeur de rickshaw qui ne connait pas la route et quelques jurons bien choisis (un avantage des langues étrangères !) et me voilà à sauter dans le train au moment où il prend son élan. Au moins, faute d’avoir eu le temps de visiter la gare, je suis allé à la bonne et je n’ai pas eu à courir à l’autre bout du quai à chercher mon wagon, il m’a suffi d’attendre qu’il passe devant moi…

Ce train est bien différent de celui de Madagascar mais tout aussi dépaysant ! Ma voiture (Sleeper, ce qui est en dessous de la 3 ème classe !) ressemble vaguement au train couchette français… sauf qu’il n’y a pas de compartiments. Ben oui, c’est plus convivial d’entendre ronfler tout le monde.

Une rangée perpendiculaire est aussi casée de l’autre côté du couloir et, chose surprenante, alors que dans le métro, les femmes disposent si elles le veulent de compartiments qui leur sont réservés, ici, les wagons sont totalement mixtes. Ayant enfin posé mon stylo, et pour résister à la tentation de chatouiller les orteils de mon voisin de couchette qui dépassent en s’agitant comme par provocation, je délaisse mes barreaux de fenêtre pour aller me pencher à la porte qui, elle, étrangement, reste ouverte, et profiter de l’air nocturne.

Le réveil est rude ! A 6h50 un type braillard tout en jaune passe dans les couloirs avec un tambourin ! Je ne sais pas ce qu’il voulait mais je lui aurais bien rebalancé quelques jurons bien français ! Enfin… quitte à être réveillé, je profite d’une gare pour aller inspecter les autres wagons. Mince, ils ont disparus ! On a apparemment perdu les 1 ère et 2 nde classe au cours de la nuit!

Pour ce qui est de la troisième, à part qu’ils sont équipés de portes fermées qui maintiennent emprisonnées un air froid et que quelques rideaux leur confèrent un peu plus d’intimité, elle n’est pas très différente de la nôtre. Ici, les gares sont vides et le charme de celles de Madagascar avec leur multitude de vendeurs tous spécialisés dans le même produit me manque un peu…

En remontant dans le train, je fais connaissance avec ma vieille voisin d’en dessous et des deux gamins d’à côté, avec qui je partage désormais la banquette, puis reprends mon poste d’observation à la porte d’où je redécouvre les grandes plaines ponctuées de nombreux arbres au milieu desquels poussent quelques sporadiques pieds de maïs, voilées régulièrement par les nuages noirs que laisse échapper la locomotive… La terre se dessèche peu à peu et laisse place au sable. Le désert approche!

Une fois à Bikaner, je quitte les deux enfants avec qui j’ai bien sympathisé et rejoins la guesthouse de Vinod que j’ai repéré pour ses délicates chambres à 3€, son accueil apparemment unique et ses promenades en chameau (bah oui, quitte à être là, ça va être dur d’y échapper !) Je suis accueilli par sa fille dans une maison superbe et très chaleureuse.

J’ai droit à un thé et à un petit cabanon dans le jardin, au bord d’une terrasse qui entoure un carré d’herbe parfaitement entretenu. Seul client actuellement, je suis présenté au reste de la famille (la seconde fille, le fils et les parents). Nous discutons un moment et là, les histoires loufoques recommencent!

Le père, avisant ma guitare (quel instrument magique pour les rencontres !) m’explique que lui fait un autre type d’instruments à cordes qu’il n’a malheureusement pas ici et beaucoup de percus. La guitare sort de sa housse et un petit concert privé s’improvise, Vinod tapant dans tous les sens avec un rythme endiablé. Rapidement, l’harmonica se joint à la musique tandis que le frère filme le tout.

Un ami débarque alors que le père prend un coup de fil, et me dit en riant que je vais finir sur leur site et dans le journal. Je rigole avec lui avant de comprendre… que ce n’est pas une blague ! Mon hôte est en train d’appeler la presse ! Vingt minutes plus tard, on vient me cherche dans ma « hutte » transformée en loge pour l’occasion.

Les journalistes mènent la danse!

C’est impressionnant à constater et je ne pensais pas faire cette expérience en Inde. Me voilà transformé en bête de cirque ! Un énorme objectif braqué sur moi, on me fait jouer différents morceaux puis on me pose un tas de questions dont on n’écoute pas les réponses. J’ai l’impression qu’ils réinventent ma vie. On me demande si j’ai déjà joué d’autres instruments avec l’harmonica et la guitare, si je compte composer des chansons en Hindi, si je rêve de jouer cinq ou six instruments en même temps… Que voulez-vous que je réponde ?… Mais de toute façon, la réponse n’a aucune importance. Seule la question compte.

Le journaliste écrira ce qu’il a envie. « Il a tout pouvoir ». Ça m’a vraiment frappé et je redoute maintenant de voir son papier. Bon par contre, désolé Philippe, j’ai bien évoqué La Clé des Solsune fois ou deux mais je doute que ça apparaisse au final !?Je ne suis même pas sûr qu’il arrivera à orthographier Les Pirates Médusés correctement ! Va-t’en leur expliquer le jeu de mots en anglais!

Pas possible, qui a choisi un nom pareil ? Je me rends ensuite au fort de Junagadh duquel les Maharadjas successifs et notamment le grand Ganga Singh dirigeaient leur état.

Muni de mon audioguide (en français s’il vous plait !) que j’ai évité de payer en sympathisant avec le gardien (^^), je remonte le temps pour quelques instants et me retrouve à la cour du suzerain. Les senteurs, les musiques et les lumières des fêtes qui se donnaient en ces lieux majestueux résonnent à mes oreilles et envahissent mon esprit, redonnant vie à ces pièces au luxe colossal et pourtant arboré avec goût et finesse.

De la chambre à l’atmosphère romantique au bureau duquel le Maharadja gérait ses affaires, en passant par les inévitables salles d’armes qui rappellent que Ganga Singh était d’abord et avant tout un stratège implacable, maître d’héroïques divisions de chameliers, notamment durant la Première Guerre Mondiale, tout respire la majesté.

Guerrier, gentleman politicien, intellectuel mais aussi artiste compositeur et visionnaire, celui qui a apporté l’eau dans le désert par le canal qui porte son nom, celui qui, dès 1886 a apporté l’électricité dans cette région prospère grâce à lui et… inventé pour son palais l’un des premiers ascenseurs (!), a laissé partout son empreinte imposante et vénérée.

Je profite vers 15h de la vieille ville que la richesse de la région (et le peu de tourisme ?) n’ont pas manqué de préserver dans un état de joyeux Moyen-âge qui fait mon plus grand bonheur. Je passe un très bon moment avec le patron d’un café qui m’aborde sur la route et me fait visiter son établissement (oui oui, « visiter un bar » !), le temple attenant et son atelier d’artisanat sans jamais me pousser à acheter, puis termine par la ferme expérimentale nationale qui étudie le dromadaire, favorise son développement et donne des conseils aux éleveurs.

D’ailleurs, tout le monde parle ici de chameaux mais il ne s’agit bien partout que de dromadaires si j’ai bien retenu ma leçon : « cha-meau », deux bosses, « dro-ma-daire », trois… euh, non, ça fait trop!

Je déguste un chai (enfin, deux puisque mon chauffeur de rickshaw, comme tous les indiens, refuse celui que je lui offre) à l’excellent lait de « camel » (d’ailleurs, quel est le cousin deu « chamelier » en français ? Le dromadelier ?) et apprend tout un tas de choses passionnantes.

Saviez-vous par exemple que le chameau de Bikaner produit 800g de poils par an contre seulement 750 pour celui de Jaisalmer ? Ouhlala !

Enfin rentré, je suis installé comme un pacha dans un fauteuil, les orteils en éventail au milieu du havre de paix que forme « mon » jardin, sous la fraicheur reposante des étoiles, un délicieux lassis à la banane dans une main, ma guitare dans les deux autre… Aaaaahhhhh, que la vie est dure !!
Ce matin, je suis tiré du lit à 7h15 (bon, ok, 8h mais c’est parce que je n’ai pas entendu mon réveil sonner…) par le journal qu’on me brandit sous le nez. Mais bon, en hindi, il faudra encore que je trouve un traducteur…

Pour l’heure, j’engloutis en vitesse du pain de mie avec de la confiture (!) pour la première fois depuis deux mois puis saute dans un rickshaw qui, après une heure de route me dépose… à côté d’un chameau sellé ! Il était inévitable en venant ici de tenter une exploration du désert ! Alors, après de longues négociations avec Vinod, puisqu’il n’est pas commun de ne pas partir avec un groupe de touristes (absents en cette saison), nous trouvons un arrangement. Un guide-cuito et son fils, deux chameaux, un peu d’eau, et moi.

Rejetez les images classiques du désert, dunes de sable fin, oasis de palmiers et… rien à l’infini. Elles viennent spontanément à l’esprit, mais je ne suis pas ici dans le Sahara !

jaisalmer camp desert india

Dans ce « semi-désert » le relief est moins prononcé et la végétation sèche et rase ou les quelques arbres tordus me font plus penser à une savane africaine, à un désert mexicain ou… aux bords de mer du Touquet (!)… mais étalés sur des dizaines de milliers de kilomètres carrés. La charrette, à laquelle je n’ai pu échapper, où se trouvent le matériel et Harphool, mon guide, suit des pistes déjà tassées par des milliers de passages (à travers les siècles?).

Si cela hôte le charme de l’impression de solitude qu’il y a peut-être dans les dunes vierges du Sahara, on y revit très facilement, en gommant les poteaux électriques la première heure, le voyage des caravanes antiques qui passaient ici depuis des milliers d’années, menant vers d’autres contrées ou vers la mer les richesses de ce royaume.

Bercé par le ballottement nonchalant de ma monture, je découvre de loin en loin des maisons solitaires perdues au milieu de nulle part qui cultivent quelques lentilles, du sésame ou du millet survivant grâce aux rares puits dans lesquels se baignent les iguanes.

Quelques chansons aux lèvres, la guitare dans les bras, rafraichis par un petit vent bienfaiteur dans ces espaces immenses et paisibles, nous avançons au fil des rencontres avec les rares gamins qui agitent les bras en lançant de grands « Tata! Tata! », les antilopes ou les buffles sauvages que nous apercevons au loin.

A midi, nous dételons les chameaux sous un arbre décharné et allumons un petit feu de cuisine. Je pèle les pommes de terre et une bonne dizaine de gousses d’ail, tandis que Harphool prépare les chappattis, les galettes de farine qui servent à la fois de pain et de cuillères.

Rejoints par trois agriculteurs de passages sur malgré le repas délicieux, je me fais disputer par le en chef lorsque je refuse de me resservir pour la quatrième fois. Il profite alors vicieusement de mon trajet jusqu’à notre réserve d’eau pour remplir à nouveau mon assiette ! La vaisselle faite… au sable, une petite sieste plus tard, nous voilà repartis… Ah bah non ! Il paraît qu’il fait trop chaud…

Comme si je n’avais pas remarqué ! Mais c’est perpétuel ici ! Je m’assois un moment et observe les nuages comme je ne l’ai pas fait depuis longtemps. Ici, un chameau semble étendre son cou (Amusant comme notre imagination est influencée par notre état d’esprit…). Là, je vois plutôt un bateau qui semble gonfler ses voiles. Il est des phénomènes que la science explique merveilleusement bien, qui me passionnent et que j’aime manipuler, bricoler, traficoter. Mais lorsque je vois ces gros blancs d’œufs battus en neige suspendus au dessus de nos têtes et modelés par la nature (le meilleur des artistes), je me dis qu’il est bon que certains restent mystérieux et gardent un peu de leur magie pour continuer à nous émerveiller…

Bon allé, la sieste, ça va un moment mais il parait qu’on est là jusque 16h, et je ne compte pas m’ensabler ! Alors, en avant ! Tandis que mon guide s’est assoupi et que son fils essaie de déchiffrer les caractères étranges de ma partition d’Asturias, je pars à la chasse aux antilopes… sans succès. Je reviens les mains vides, avec juste une petite souris toute mignonne dans la boîte.

Au fil de l’après-midi, je découvre la monotonie du voyage.

Un ballottement. Un autre. Droite… gauche… droite… indéfiniment. C’est lent… Alors, je m’invente des jeux. Je laisse la charrette prendre un peu d’avance sous le prétexte que ma monture déguste un buisson pour la lancer ensuite au pas de course. J’ai l’impression d’être quand même un peu trop bridé et j’imagine sans peine les immenses caravanes obligées d’aller au rythme du plus lent sur des centaines de kilomètre. Heureusement qu’il y avait du monde pour discute !

Chemin faisant, je découvre aussi l’immensité du désert, ou du Pays de la Mort comme on le nomme ici. Sec partout. Du sable et des buissons à perte de vue. Comment se soucier du reste du monde dans cette immuabilité ? «  A dos d’chameau (papalapalapa), on s’en fait pas trop (pa-palapapa)…  » Hélas, le soir voit revenir les poteaux électriques et j’ai bien du mal à capturer le coucher du soleil entre les fils. Avec un appareil phot, nous devenons nous aussi journalistes. « Je veux un beau coucher de soleil ». On ne garde pas les images de la vérité mais celle de « notre » réalité… Mais finalement… en écrivant ces lignes je me pose la question : Notre esprit n’agit-il pas de même ? Il doit être un peu journaliste lui aussi…

Après une nouvelle chasse plus fructueuse celleci, la journée se termine par un délicieux repas que nous partageons avec un couple suédois, qui viennent de nous rejoindre, et une veillée guitare sous les étoiles au coin du feu. En regardant les constellations sur l’air de « montée là-haut », je repère les trois points alignés de la ceinture d’Orion qui me rappellent une nuit d’été. Bon-Papa, c’est toi qui me les avait montrées la première fois…

Laissant la tente aux amoureux, couché sur une étoffe épaisse avec pour seule couverture l’infini de l’univers, mon esprit s’évade peu à peu… Bonne nuit ! Ce matin, j’ai construit un château de sable. Faut-il perdre l’innocence de notre enfance en grandissant ? Aujourd’hui, quoi que je fasse, j’essaie de le faire le plus fonctionnel possible, opérationnel, optimisé. Eh bien, non. Bien sûr, certains diront que ce château répondait lui-aussi à un but : me prouver que je pouvais encore le faire. Mais au moment où je creusais le sable fin pour trouver un peu d’humidité, non. Je creuse tout simplement, m’encrassant les ongles avec bonheur.

Comme d’habitude, je dois m’y reprendre à trois fois avant de parvenir à faire un « tunnel » qui serve de porte d’entrée. Quant au pont qui doit enjamber la douve unique qui protège l’avant (ben oui, pourquoi les ennemis attaqueraient pas les autres côté s’il n’y a pas de portes !), j’y renonce rapidement. Il me faudrait un meilleur architecte.

Pour compléter le tout, il faudrait que je creuse un canal jusqu’à la mer pour amener l’eau dans les douves. Mais ici, la mer est loin ! Je préfère y faire pousser un petit roncier. (Merci Guédelon !) Mon fort protège une petite touffe d’herbe. Il n’est pas beau.

J’ai passé un bon moment à le faire, sans réfléchir au pourquoi, à le bâtir de mes mains d’enfant et à le modeler grain par grain. Il est magnifique.

Le sable à ceci de merveilleux qu’il est comme une ardoise géante. On peut à volonté effacer et recommencer. Alors j’écris, de la pointe de mon plus beau doigt tous ces mots que je ne dis pas et dont l’empreinte restera à jamais enfouie dans le désert…

Le chameau est un animal stupide et capricieux ! Stupide parce que, discipliné, si on le laisse faire, il suit bêtement les animaux de tête. Et s’il se retrouve en tête… perdu il fait des tours sur lui-même ! Et capricieux parce que, pire qu’un canasson, lorsque je tire une rêne, il tire encore plus fort dans l’autre sens. Imaginez un peu ! La conduite n’est pas aisée.

Et je n’ai pas encore non plus trouvé d’autre moyen pour l’arrêter que de l’envoyer dans un arbre au risque de rayer la carosserie. Où est la pédale de frein ? Harphool a beau m’expliquer qu’il suffit de faire « pfou-pfou », et j’ai beau essayer en me bavant dessus autant que possible, la dégustation de buisson reste le plus efficace ! Essayez donc de prendre une photo d’une jolie gazelle lorsque vous êtes continuellement balloté d’avant en arrière !

J’ai également enfin pu tenter le galop mais, après qu’on m’ait expliqué que ma méthode « cavalière », debout sur les étriers, mains serrées sur la poignée de la selle pour l’équilibre, n’était pas la bonne, je tente la leur, bras repliés sur la poitrine, coudes tendus pour battre des ailes, pieds sortis des étriers… et je me fais balancer en tout sens. Je crois que je me suis déplacé un ou deux vertèbres. Finalement, le pas 9 nonchalant n’est pas si mal… du moins pour la prochaine heure !?

Au cours de notre dernière pause, nous sommes rejoins, pour partager un ultime chai au lait de chamelle directement puisé à la source locale, par trois enfants du désert, probablement attirés à la vue de notre convoi.

Je suis totalement fasciné par ces fillettes au visage volontaire, aux yeux déterminés qui, malgré qu’elles n’aient surement jamais rien vu d’autre que le sable ont probablement vécu des choses que je ne pourrais jamais imaginer. L’une d’elle m’impressionne particulièrement avec sa mine farouche et ses cheveux sauvages. Je suis incapable de détourner mon regard de son visage, de même qu’elle semble hypnotisée par le mien.

Dans le reflet de ses yeux profonds, ce n’est pas la misère qu’affichent ses vêtements que je distingue. Ce n’est pas non plus de la jalousie ou une quelconque mendicité.

J’y aperçois du courage, de la force et une indicible envie de vivre, tout simplement. Je suis intimidé par ses yeux presque adultes au cœur de ce visage d’enfant qui semble me rendre ma curiosité. Mais passé les premiers contacts gelés et les premières jauges, à défaut des ballons de baudruche que je regrette, je ressors l’instrument magique.

Je ne crois pas avoir vécu de meilleurs moments en Inde que ces quelques instants où, sans un mot, je montre à cette petite fillette assise tout contre moi comment gratter délicatement les cordes.

Tandis que mes doigts retrouvent leurs positions coutumières, les siens font s’envoler avec douceur quelques notes qui se perdent dans le ciel… magique…

Allongé au milieu du désert, le sable fin pour matelas, un tissus sur le visage pour se protéger du soleil qui noircit (ou brûle ?) tout ce qui dépasse, une douce musique aux oreilles, il m’est bien difficile de me dire que je ne suis pas en vacances ! Et pourtant, la fin arrive doucement. Je remercie une dernière fois mon guide au rire si agréable avec ses intonations africaines.

Malgré son visage creusé par le sable et le soleil, le vieil homme fait encore preuve d’un dynamisme surprenant. Le Thar a beau le tenir le plus souvent éloigné de sa femmes, de ses huit enfants (il voulait un fils, il a persévéré!), et avoir usé ses traits, il ne lui arrachera jamais sa vitalité.

Une belle image de la force de l’humanité. Après un dernier regard, je tourne le dos au désert…

Avant de remonter dans le train, je m’octroie un petit crochet pas le village de Deshnok, célèbre pour son temple unique en Inde où des centaines de pèlerins viennent honorer… les rats sacrés!

Pataugeant dans les déjections des rongeurs qui pullulent, chacun vient améliorer son karma en offrant à ces charmantes petites bêtes sucreries et autres gâteries. Résultat : rendus pacifiques et presque domestiques, les rats se multiplient au plus grand plaisir des visiteurs.

Si la plupart du temps ce sont eux qui me grimpent sur les pieds naturellement nus en ce lieu sacré, ou me lèchent les orteils, je finis quand même par en piétiner un (ben oui, ça devait arriver à force de courir partout !) dans un « schcouic » qui m’attire probablement le mauvais œil.

Heureusement, je compense en apercevant le fameux rat blanc censé apporter bonheur et prospérité. (boh, ça marche pas trop mal!) Il parait que tous ces rongeurs seraient les réincarnations des musiciens qui, ô joie, évitent ainsi l’obscurité du royaume des morts. Il fait bon être guitariste au pays des cent mille dieux!

En rejoignant la gare où je ferai connaissance de Naresh, un Indien qui fait toue les semaines la route entre Delhi et Bikaner pour revoir sa famille, je prends un dernier repas dans une cantine populaire de Deshnok, dans un cafouillis incroyable.

Avec un menu entièrement en hindi, les cuistos qui ne parlent pas un mot d’anglais, ont l’air de dire que je ne peux pas prendre la même chose que les autres clients.

Impossible de leur demander de quoi sont composés les plats aux noms indéchiffrables et s’ils doivent être accompagnés de riz ou de chappattis. Lorsque j’essaie de montrer une ligne au hasard, on me baragouine une suite de syllabes qui semblent vouloir dire non.

Au moment où je fais mine de m’en aller, agacé, on m’amène un plat semblable à du yaourt, étrange mais délicieux (du Rayalta semble-t-il) que j’ai la surprise de découvrir froid, accompagné d’un excellent lassis aux fruits secs. Bon ben… ça me va!

La petite anecdote du moment :

En prenant sa voiture, bloquée par une autre garée perpendiculairement, j’ai découvert une nouvelle étrangeté du pays. Ici, les gens se garent sans frein à main. Ainsi, lorsqu’une voiture nous gêne pour sortir… on la pousse tout simplement?

Mise en route – Voyage au Nepal

Peu de pays se prêtent aussi bien au tourisme indépendant que le Népal. On peut se présenter à la frontière ou à l’aéroport de Katmandou, obtenir un visa et un permis TIMS pour le trekking, et être dans l’Himalaya en quelques jours seulement. Il y a cependant tellement de choses à voir et à faire qu’il est bon de se livrer à quelques préparatifs avant de partir, ne serait-ce que parce que les retards, les annulations et les obstacles imprévus font partie de la vie quotidienne au Népal. Après une décennie de guerre civile, les choses reviennent enfin à la normale et le tourisme connaît un remarquable essor. Lors de la dernière mise à jour de ce guide, de nombreux lodges avaient du mal à attirer les clients. Aujourd’hui, ce sont les voyageurs qui rencontrent des difficultés pour trouver des lits…

Quand partir

En gros, le Népal connaît deux saisons : la saison sèche, d’octobre à mai, et la saison humide (mousson), de juin septembre. L’automne (de septembre à novembre) et le printemps (de mars à mai) offrent des températures agréables en journée, un ciel dégagé permettant d’admirer les montagnes et un temps idéal pour faire du trekking, du rafting ou simplement explorer la vallée de Katmandou. Pour plus d’informations sur la période propice au trekking, reportez-vous. Octobre et novembre sont les mois idéaux pour le tourisme. Juste après la mousson, la campagne est luxuriante, l’air, vif et limpide, et les vues sur l’Himalaya, nettes et dégagées. Il peut cependant être difficile de trouver une place sur les vols internationaux et intérieurs, et les hébergements affichent rapidement complet, ce qui est particulièrement agaçant quand on a confié ses bagages à son hôtel pour partir en randonnée. Pensez absolument à réserver ! N’oubliez pas non plus qu’en octobre, la fête annuelle de Dasain paralyse tout le pays. Début décembre, l’hiver commence à se faire sentir et la plupart des randonneurs renoncent aux sentiers de haute altitude. Rejoindre le camp de base de l’Everest demande alors beaucoup d’endurance et le trek du tour des Annapurnas est souvent bloqué par la neige au Thorung La.

Même dans la vallée de Katmandou, il fait parfois très froid quand le soir tombe, et le brouillard du matin peut chambouler les horaires des avions. En décembre, les touristes commencent à déserter la capitale comme des oiseaux migrateurs en partance pour les cieux plus cléments de l’Inde ou de la Thaïlande. C’est cependant le moment idéal pour profiter dans le calmedes parcs nationaux du Teraï. Le printemps, de mars à mai, est la seconde période la plus agréable. Le temps se radoucit à l’approche de la mousson et les sentiers de trek sont moins encombrés qu’en automne, même si la couverture nuageuse vient parfois amoindrir la visibilité. C’est le moment d’admirer les superbes rhododendrons aux couleurs vives du Népal.

Mai et début juin sont à éviter en raison de l’approche de la mousson. Une humidité et une chaleur pénibles règnent dans le Teraï et la vallée de Katmandou, avec des températures dépassant 30°C. La mousson semble planer comme une menace dans le ciel. En raison de son altitude moins élevée, Pokhara connaît un climat plus doux et plus plaisant que Katmandou en hiver, mais plus chaud avant la mousson et plus humide pendant cette dernière.

De mi-juin à septembre, la mousson s’abat sur le pays, faisant fuir pratiquement tous les touristes. Le rafting devient dangereux, les sentiers se transforment en champs de boue, les inondations et les glissements de terrain coupent les routes, les parcs nationaux ferment, les montagnes disparaissent derrière les nuages et les sangsues sortent en force. Si vous êtes en quête de paysages montagneux, partez plutôt pour le Tibet ou le Ladakh, en Inde. D’un autre côté, il y a moins de voyageurs pour gâcher le calme et la tranquillité des lieux et de nombreuses fêtes hautes en couleur ont lieu en août et septembre.

Ne partez pas sans…

  • Un masque antipollution, indispensable à Katmandou si vous envisagez de louer une moto ou un vélo.
  • Des bouchons d’oreille pour les déplacements en avion à turbopropulseur et en bus, et au cas où votre hôtel ferait face à une discothèque…
  • Un stick labial avec écran solaire : si vous faites du trekking, vos lèvres gerceront en quelques minutes sous l’effet du vent et du soleil.
  • Des chaussures de marche – les acheter au Népal est le plus sûr moyen d’avoir des ampoules. n Un imperméable et un parapluie solide pour les trombes d’eau de la mousson ou les averses soudaines.
  • Un bon cadenas pour fermer votre chambre d’hôtel et les casiers mis à disposition dans les temples et musées, et pour accrocher vos bagages dans le bus.
  • Une lampe de poche pour les coupures de courant et les envies pressantes la nuit en randonnée.
  • Du répulsif contre les insectes dans le Teraï (et de l’huile contre les sangsues en période de mousson).
  • Un maillot de bain pour le rafting, le kayak, le canyoning, le bain des éléphants, sans oublier la baignade !
  • Une bouteille d’eau réutilisable et des tablettes d’iode pour purifier votre eau, économiser de l’argent et protéger l’environnement.

le pays est-il sûr  ?

Comparé aux pays occidentaux, le Népal est incroyablement bon marché, même si les prix commencent à augmenter à mesure que l’économie se redresse après les difficiles années de la “guerre du peuple”. Le prix des voyages en bus est dérisoire et vous trouverez presque partout des hébergements qui ne vous coûteront même pas le prix d’un café chez vous. Les restaurants sont également très peu chers, sauf à Katmandou où les établissements pour touristes tendent à s’aligner sur les tarifs occidentaux.

Si vous faites du trekking, la nourriture constituera votre plus grosse dépense. Peu de lodges facturent plus de 200 Rs la nuit, mais le dîner et le petit-déjeuner peuvent facilement dépasser 1 000 Rs, surtout si vous commandez de l’alcool. Les guides et les porteurs ont également augmenté leurs tarifs, après des campagnes menées par les maoïstes pour inciter les habitants des zones rurales à se faire correctement rémunérer. Cela permet de réparer une longue injustice, mais signifie aussi que les treks coûtent plus cher qu’autrefois.

À titre indicatif, en choisissant les hébergements les moins chers et en adoptant le régime alimentaire népalais (du daal bhaat deux fois par jour), on peut vivre avec 5 à 10 $US par jour, mais il ne reste alors plus grand-chose pour payer les droits d’entrée dans les parcs nationaux et les sites historiques. Si vous faites un trekking, comptez entre 7 et 12 $US par jour si vous voyagez sans porteurs et sans guides et logez dans les “maisons de thé”, mais 15 $US si vous avez envie de vous offrir une bière avec votre dîner. Pour les treks organisés, le budget à prévoir dépend du nombre d’accompagnateurs, de la destination et du niveau de luxe souhaité ; prévoyez au moins 25 $US par jour.

Si vous mangez dans des restaurants pour touristes, logez dans des hôtels plus confortables, visitez les musées et les sites historiques et prenez un taxi de temps en temps, votre séjour vous coûtera entre 15 et 20 $US par jour. Pour un hôtel de catégorie moyenne, des déplacements en bus touristique ou en taxi et des activités organisées comme le rafting, le trekking en groupe ou le parachutisme, comptez de 40 à 60 $US. Dans les centres touristiques comme Katmandou ou Pokhara, l’argent semblera vous filer entre les doigts tant les tentations sont nombreuses : ajoutez 30% à votre budget normal. Inversement, les occasions d’achat sont rares dans les montagnes : vos seules dépenses seront l’hébergement, les repas et une tasse de thé de temps à autre.

Pendant l’insurrection maoïste, beaucoup d’hôtels offraient de grosses remises, mais cette pratique est beaucoup moins répandue aujourd’hui. Si on peut souvent négocier une réduction pour un séjour de plusieurs jours, les établissements sont moins enclins à accorder des ristournes significatives à présent que les touristes reviennent en masse. Il est plus facile d’obtenir une réduction en basse saison, de décembre à janvier et de juin à septembre.
Lors d’un trek, on peut convaincre les lodges de baisser le prix de la chambre en acceptant de prendre ses repas sur place. La plupart des hôtels et des restaurants de catégorie moyenne et supérieure ajoutent 13% de TVA et 10% de service aux tarifs affichés. De ce fait, le pourboire devient beaucoup moins courant.

Découvrez du Mandawa (Rajasthan en Inde)

Mandawa est la base pratique pour les voyageurs à Shekhawati. Installé dans le 18ème siècle et fortifié par les familles marchandes dominantes, il reste une belle ville tamisée petit marché, bien que l’infrastructure est en train de s’étirer, et rabatteurs commencent à planer.

Binsidhar Newatia Haveli (maintenant la Banque d’État de locaux Bikaner et Jaipur) a curieuses peintures sur son mur oriental externe? un garçon à l’aide d’un téléphone, d’une femme européenne dans une voiture avec chauffeur, et le vol des frères Wright tente. Le Gulab Rai Haveli Ladia, au sud-ouest du fort, a quelques images érotiques défigurés. La moitié inutilisée de Castle Mandawa a quelques fresques intéressantes. Il ya aussi quelques baoris fines dispersées autour de la ville.

Hôtel Shekhawati est une option de budget géré par un directeur de banque à la retraite et son fils qui travaillent dur (qui? Aussi un guide touristique agréé). Peintures murales lumineuses donnent les chambres agréables et propres une touche bienvenue de la couleur et de délicieux repas sont servis sur la terrasse du toit paisible. Confirmez votre exacte check-out.

Hôtel Rath Mandawa un bâtiment rouge lavé à la périphérie de Mandawa, a des chambres joliment décorées à des prix beaucoup moins cher que dans la ville. La piscine, encore en construction au moment de la recherche, semble prometteur, et le verger d’orangers et de jardins attenants sont plus accueillant. La direction est désireux de s’il vous plaît.

Près de la station de bus principale est l’Hôtel Heritage Mandawa, un haveli charmante vieille avec un mélange de chambres, dont certaines sombre et décorée discordante, d’autres plus élégants. La cour est une aubaine.

En face de la station de bus principale, Singhasan Haveli est un très élégant hôtel méticuleusement exécuté avec des chambres lumineuses et peu voyantes, et une touristique, mais mémorable, des dunes de sable le dîner. Le mémorial est kaléidoscopique.

Près de Sonathia Gate, Hôtel Mandawa Haveli se trouve dans un 19ème siècle restaurée haveli glorieuse où les chambres autour d’une cour peinte. Il? Vaut éclaboussures sur une suite romantique rempli avec des arcs, sièges de fenêtre et d’innombrables petites fenêtres.

Hôtel Castle Mandawa Mandawa est?? S grand hôtel. Situé dans un ancien château, l’hôtel? Bâtiment s est fantastique (et facile de se perdre dans), mais les chambres sont surévaluées et le personnel peut être difficile à réveiller. Le même groupe gère également Hôtel Mandawa Desert Resort, construit au sommet d’une dune de sable magnifique avec une vue saisissante du désert. Le service est encore un peu vieillot, et certaines chambres ont besoin recâblage, mais il ¡¯ s toujours idéal pour les nuits chaudes de velours.

Bungli restaurant est un voyage populaires? restaurant près de la station de bus principale qui sert fantastique, pipinghot tandoori et la bière très froide. Le service peut être un peu lent cependant, et les bugs ici ont tendance à mordre.

Restaurant Pawaana est une entreprise en temps opportun nouvelle caché derrière de hauts murs et autour d’une cour spotlit. La nourriture traditionnelle du Rajasthan est excellent, et le bruit de la rue très animée rend une bande-son de bienvenue.

Une galerie extérieure :

La plupart des havelis (demeures traditionnelles, richement décorés) sont entrés par une arche sur une cour extérieure où il ya souvent une salle de réunion, avec punkahs (ventilateurs en tissu balancé en tirant une corde), où les hommes peuvent faire des affaires, en face est stable et la maison de l’entraîneur.

Un autre arc conduit par un passage dogleg (pour assurer la confidentialité) à un ou plusieurs cours intérieures du domaine privé de la famille et est géré par les femmes. Galeries à travers les étages supérieurs donnent accès aux chambres individuelles souvent petites, et il ya généralement une terrasse sur le toit. Il s’agit d’une structure commune bien au-delà de Shekhawati, où il sert à prédominance masculine familles et met l’accent sur la vie privée des femmes.

En collaboration avec les murs épais, il fournit de l’ombre profonde pour refroidir les salles intérieures, une nécessité dans cette terre brûlée par le soleil. Mais la particularité de la havelis Shekhawatis sont leurs décors peints. Les artistes appartenaient à la caste des kumhars (potiers), et étaient à la fois les constructeurs et peintres, et ils ont utilisé la technique de la fresque (en appliquant pigment naturel de la couche humide haut de plâtre) à effet remarquable. (Après environ 1900, les artistes ont commencé à peindre sur de sécher le plâtre à la place, permettant une plus grande complexité, mais de perdre l’urgence d’origine de l’œuvre.)

Les murs extérieurs, en particulier autour de l’entrée, les cours extérieures et intérieures, et parfois quelques-unes des chambres sont peintes du sol à l’avant-toit. Généralement, les peintures mélanger les représentations des dieux et leur vie de tous les jours avec des scènes mythiques, souvent avec des inventions modernes comme les téléphones, les trains et les avions, qui ont été peints par des artistes qui ne les avait jamais vus. Les deux mondes se confondent souvent, si Krishna et Radha sont vus dans les automobiles volantes.

Certains havelis sont officiellement ouvertes, mais la plupart sont habités par les restes des familles qui les ont construits, ou les gardiens. Tentez votre chance: se tenir à proximité et regarde plein d’espoir. Vous serez souvent invité à entrer, soit librement, soit pour un petit pourboire. La photographie est généralement admise.

Un aspect négatif de l’activité touristique est le désir d’antiquités. Quelques villes ont des magasins d’antiquités cale-un-bloc avec des éléments arrachés à des havelis, en particulier des portes et des fenêtres. Investir dans ces antiquités perpétue cette profanation.

Visa pour voyage en Inde

Faire une demande de visa de voyage en Inde …

Vous ne pouvez pas voyager à l’étranger sans visa. Mais qu’est-ce qu’un visa de toute façon? Eh bien, si vous prévoyez de voyager en Inde, vous devez obtenir un visa de voyage en Inde.

Visa est un timbre, un sceau officiel, à partir du haut-commissariat ou l’ambassade dans votre document de voyage ou un passeport. Il vous autorise et les autres voyageurs à se rendre en Inde (ou tout autre pays) pour une période et un but précis. Prenez note de «fonctionnaire». Vous voyez, il ya beaucoup d’escrocs là-bas qui sont capables de sortir du pays et d’entrer dans une autre, sans avoir un visa officiel.

Ce qui peut arriver si vous ne possédez pas de visa officielle de l’Inde? Votre entrée à l’Inde peut être refusée par les autorités. Si au cas où vous êtes en mesure d’entrer dans l’Inde et plus tard sur votre article a été découvert, vous pouvez être rapatriés.

Comment pouvez-vous obtenir un visa de voyage en Inde? C’est assez facile. Tout ce que vous avez à faire est de satisfaire toutes les règles et règlements de visa. Après cela, vous pouvez être délivré un visa de voyage en Inde. Certaines personnes ne parviennent pas à obtenir des visas, mais non pas parce qu’ils ne sont pas qualifiés. La raison principale pour laquelle la plupart des gens se voient refuser parce qu’ils ne comprennent pas l’agent des visas. Tenez compte des suggestions suivantes pour postuler à un visa de voyage en Inde ou tout autre visa.

Pour le passeport, les voyageurs première fois avoir les passeports vierges. Pour l’agent des visas, cela peut vouloir dire que c’est votre première fois à voyager à l’étranger ou vos demandes de visa antérieures dans d’autres pays ont été rejetées. Votre passeport peut avoir plus d’un visa. Cela peut signifier que d’autres pays ont confiance en vous, c’est pourquoi ils vous ont donné un visa.

Si c’est votre première fois à une demande de visa, vous devez d’abord déterminer si l’Inde a un taux élevé de rejet de visa. L’Inde n’est pas stricte que dans les demandes de visa de sorte que même si vous êtes un premier temps l’Inde visa demandeur, vous avez de fortes chances d’obtenir un visa approuvé.

Vous pouvez acquérir facilement des visas en Inde grâce à l’aide des agences de voyages. Ils seront ravis de vous aider pendant que vous postulez pour un visa. Voici quelques-unes des questions auxquelles vous devez répondre personnellement avant de vous rendre à l’ambassade –

  1. Avez-vous une lettre d’invitation convaincante?
  2. Avez-vous organisé à l’avance un lieu ou fait des réservations d’hôtel à l’étranger?
  3. Avez-vous un compte bancaire? Quelle est votre situation financière?
  4. Avez-vous vu refuser une demande de visa avant?
  5. Avez-vous déjà été déclaré coupable d’un crime?
  6. Avez-vous un sponsor voyage? Si oui, qui?
  7. Quels sont vos besoins en voyage en Inde?

Ces questions sont d’une importance capitale. Vos réponses doivent être majoritairement positives de sorte que vous pouvez être sûr que votre demande de visa sera accepté. Si vous n’êtes pas sûr de vos réponses, vous pouvez demander des conseils auprès d’amis, de parents et de collègues qui ont déjà assuré une visa de voyage en Inde.

Obtention d’un visa de voyage en Inde n’est pas si difficile, surtout si vous connaissez votre chemin autour de l’ambassade. En savoir plus sur la demande de visa en ligne parce que vous pouvez trouver beaucoup d’informations utiles sur le net. Préparez-vous. Vous ne pouvez pas se permettre de se voir refuser une demande de visa parce que vous ne pouvez pas atteindre l’Inde sans elle et non seulement cela, votre passeport sera affecté aussi bien et toutes vos applications de visa d’autres à l’avenir.

voyage en inde et à New Delhi

Si vous voyagez à l’Inde du nord, vous trouverez la ville de New Delhi et c’est là que vous pouvez avoir une expérience de vacances édifiante. Nouveau Delhi est la capitale de l’Inde et il peut être trouvé près de la rivière Yamuna. Ce n’est qu’en 1931, lorsque la ville a été inauguré en tant que nouvelle capitale de l’Inde. Vous pouvez trouver des plantes d’impression, les usines de textile et d’autres établissements de fabrication au sein de la ville. New Delhi, Inde voyage est un voyage très excitant que vous devriez regarder le futur.

Les rues de la ville sont symétriquement disposées. Lutyens a été l’architecte qui a dessiné le plan de la ville. Il a également été la même personne qui a conçu Rashtrapati Bhawan qui arrive à l’endroit de résidence du président du pays. Les bâtiments de la ville reflètent un style indien, mais l’architecture est essentiellement européen. L’ambassade des Etats-Unis qui se trouve à New Delhi est une combinaison de style occidentale et indienne. Un boulevard se trouve à l’est du palais présidentiel qui est bordée par des canaux et des arbres qui conduisent à une arche commémorative guerre. Ces sites particuliers sont déjà accrocheur, mais attendez de voir le reste de la ville.

Comment pouvez-vous profiter de la plupart des plus beaux sites de la ville? La façon la plus simple est de contacter une agence de voyages. Vous devez choisir l’agence de voyages droit qui offre le meilleur package tournée qui peut répondre à vos exigences de voyage en même temps s’adapter à votre budget.

Monuments du patrimoine, palais, temples, et les réserves fauniques se retrouvent presque dans toutes les régions de l’Inde. Vous pouvez trouver ces sites trop à New Delhi. Vous pouvez demander à votre guide pour vous emmener à des endroits charmants de la ville. Visites quotidiennes sont effectuées et vous n’avez qu’à demander le guide de l’itinéraire de la tournée pour la journée. Vous pouvez participer à la visite de la ville ou vous pouvez l’explorer seul. Certaines personnes préfèrent se promener dans la ville alors qu’ils visiter les sites touristiques à couper le souffle dans la zone de capture. Mis à part cela, ce sera aussi leur donner une chance de rencontrer les résidents locaux de l’Inde. Les populations locales sont pour la plupart aimables et chaleureux, de sorte que vous aurez sûrement un grand moment errer partout dans la ville.

Les touristes sont généralement être observé par les habitants, mais cela ne devrait pas être la cause de l’alarme comme il est normal. Vous voyez, les résidents locaux sont très intéressés de voir des touristes dans leur pays. Cependant, vous ne devriez pas laisser votre baisser la garde parce que vous ne saurez jamais ce qui peut arriver. Essayez d’être amical avec les gens du pays, mais vous devez toujours être prudent.

Voyager à New Delhi peut être une expérience passionnante, surtout si vous connaissez les meilleurs spots touristiques à visiter. Pour tirer le meilleur parti de votre voyage en Inde, ne visiter que les lieux qui sont d’un grand intérêt pour vous. Si vous êtes intéressé par les animaux, vous pouvez visiter les réserves fauniques à New Delhi. Si vous aimez les endroits pittoresques, demandez à votre guide si vous allez à un endroit pittoresque dans la ville. Pour ceux qui aiment l’architecture unique, vous pouvez visiter les palais, les temples, monuments ou dans la ville.

Planifiez votre voyage à New Delhi en Inde avant. De cette façon, vous pouvez prendre soin de toutes les choses dont vous avez besoin pour le voyage. Une fois que vous êtes dans la ville, il vous suffit d’apprécier et de savourer les plaisirs de voyager à New Delhi.

Conseils billets d’avion pour l’Inde

Voyager par avion est l’un des moyens les plus rapides pour atteindre n’importe quel endroit de destination. Toutefois, il n’est pas une alternative vraiment pas cher. Pour ceux qui recherchent des moyens rentables de voyager, ce n’est pas un très bon choix. Mais en raison de la concurrence sans cesse croissante dans le transport aérien, certaines compagnies aériennes offrent maintenant des billets d’avion bon marché. Si vous recherchez des informations sur l’introduction du transport aérien en Inde, vous avez frappé à la bonne place.

L’Inde est en demande surtout de nos jours. Il est reconnu comme l’un de la destination touristique la plus aimée dans le monde entier. En raison de l’augmentation de l’afflux de personnes en Inde, les compagnies aériennes avec des vols à destination de l’Inde offrent maintenant des billets d’avion bon marché. Cependant, vous ne pouvez bénéficier de cette offre spéciale si vous réservez votre vol à l’avance. La quasi-totalité des compagnies aériennes offrent certaines offres spéciales et vous pouvez choisir librement entre eux. Toile les différents prix des billets d’avion et puis choisir celui avec le prix le moins cher. En choisissant cette option, vous ne devriez pas s’attendre à obtenir des services de première classe, mais cela ne signifie pas que vous ne serez pas en mesure d’obtenir un bon service.

Si il ya des billets d’avion pas chers, puis il ya aussi les plus coûteuses. Vols de luxe sont également disponibles qui est en partance pour l’Inde. Vous pouvez réserver à tout moment, sauf les jours fériés et des occasions spéciales, bien sûr. Vous devriez toujours avoir à réserver plusieurs jours avant le vol, mais si vous n’avez vraiment pas eu le temps, vous pouvez réserver le vol en ligne.

Certaines personnes sont très méticuleux quand il s’agit des installations de la compagnie aérienne. Eh bien, vous devriez être. Chaque individu de payer pour toute forme de service veut que le meilleur. Si vous avez payé pour un billet d’avion pas cher ou une coûteuse, vous devriez vérifier les facilités offertes par la compagnie aérienne. Vous pouvez le faire en ligne aussi bien. Merci à l’Internet, vous pouvez maintenant faire presque toutes les tâches de contrôle, sans quitter votre maison ou votre bureau.

Vous ne saurez jamais ce qui va se passer si vous devez vous assurer que votre transport aérien est sûr et sécurisé. Les compagnies aériennes garantissent le transport de passagers en toute sécurité, mais vous devriez toujours réserver avec une compagnie aérienne légitime et de bonne réputation juste pour être sûr.

Apportez seulement les bagages nécessaires pour que vous ne disposez pas de transporter beaucoup de choses. Si vous allez en Inde pour explorer quelques-unes de ses sites touristiques, faire que l’essentiel et non pas votre garde-robe entière.

Les voyages en avion pour l’Inde est juste comme n’importe quel autre vol. Vous pouvez économiser du temps parce que, dans quelques minutes, vous arriverez à votre lieu de destination. Si vous voulez voyager en Inde par le biais de l’air, vous pouvez commencer le démarchage pour les prix des billets d’avion à destination de l’Inde. Une fois que vous êtes là, il sera à vous si vous allez prendre l’avion, le bus ou le train pour voyager à d’autres régions du pays. Il ya des vols domestiques de cours, mais certaines compagnies aériennes ne peuvent pas accéder à d’autres régions du pays, afin de vérifier avec la compagnie aérienne. Sinon, vous auriez besoin de prendre le train ou le bus.

Que cette mise en place du transport aérien en Inde d’une grande aide pour vous, vous pouvez l’utiliser pour vos vacances prévue à l’Inde. Connaître les choses que vous avez à faire avant de réserver un vol. Vous devriez également considérer votre budget.

Coups de coeur (Fêtes – Népal)

Plongez dans la culture népalaise en assistant à l’une de ces fêtes spectaculaires :

  • Magh Sankranti, Devghat (janvier)
  • Losar, régions tibétaines (février)
  • Maha Shivaratri, Pashupatinath (février-mars)
  • Bisket Jatra, fête des Chars, Bhaktapur (mi-avril)
  • Rato Machhendranath, Patan (avril-mai)
  • Indra Jatra, fête des Chars, Katmandou (août-septembre)
  • Dasain, tout le pays (septembreoctobre)
  • Tihar et Deepawali, tout le pays (octobre-novembre)
  • Mani Rimdu, Tengboche (novembre)

EXPÉRIENCES INCONTOURNABLES
Ouvrez-vous à l’aventure pour faire le plein de moments inoubliables :

  • Se frayer un passage à travers les bazars bondés de Katmandou pour rejoindre Durbar Square
  • Allumer une lampe à huile en l’honneur du Bouddha à Bodhnath
  • Se faire bénir par un prêtre hindou à Pashupatinath ou à Budhanilkantha
  • Regarder le soleil se lever sur les temples et les palais de Patan ou de Bhaktapur
  • Louer une moto pour traverser la vallée de Katmandou jusqu’à Panauti
  • Observer les rhinocéros à dos d’éléphant au Chitwan National Park
  • Admirer l’Everest le matin depuis Kala Pattar, sur le trek du camp de base de l’Everest
  • Descendre en rappel dans des chutes d’eau en faisant du canyoning près de la frontière tibétaine
  • Faire du rafting sur la Sun Kosi
  • Grimper au sommet de l’Island Peak, le pic le plus accessible du pays
  • Tenter le saut à l’élastique le plus haut d’Asie, à Bhote Kosi

À LIRE
Voici quelques excellents ouvrages à lire avant de partir dans l’Himalaya :

  • À la recherche de l’âme de mon père, de Jamling Tenzing Norgay (Presses du Châtelet, 2002) – un récit émouvant, écrit par le fils de Tenzing Norgay
  • Au coeur de l’Himalaya, de Michael Palin (National Geographic, 2005) – le charmant ex-Monty Python raconte ses aventures dans l’Annapurna et l’Everest
  • Un regard depuis le sommet, de sir Edmund Hillary (Glénat, 1999) – le premier homme à atteindre le sommet de l’Everest avec le sherpa Tenzing Norgay en 1953
  • L’Everest, de Walt Unsworth (Denoël, 1985) – la référence ultime sur l’Everest
  • À l’assaut du Khili-Khili, de W. E. Bowman (Glénat, 1988) – une parodie délectable des récits d’alpinisme parfois trop sérieux
  • Mallory et Irvine : à la recherche des fantômes de l’Everest, de Conrad Hancker (Glénat, 2000) – sur les traces de 2 alpinistes disparus dans l’Everest en 1924
  • Les Conquérants de l’inutile, de Lionel Terray (Guerrin, 1995) – écrit par un passionné, ce livre est bien plus que le récit d’une aventure en montagne
  • L’Himalaya (Favre, 1997) – une anthologie littéraire sur la plus haute chaîne de montagne

Conseils utiles pour les voyages au Rajasthan en Inde

Depuis le caquet de ses couleurs chargées villes de la splendeur lumineuse de son désert gorgés de soleil, le Rajasthan est l’Inde romantique enveloppé dans voyantes habits royaux. Voici les clans redoutables guerriers Rajput a régné avec gilt-edged épées, des richesses pillées et par le sang épais codes chevaleresques.

Un état vaste et étonnant lacées avec des trésors les plus sublimes que ceux de la fable, la Terre des Rois peint une image audacieuse. Compiler un must-see liste dans le Rajasthan peuvent paralyser le voyageur exigeant: Meherangarh qui pèse sur bleu vif Jodhpur, le géant de l’or de châteaux de sable à Jaisalmer, les palais et les apparats d’Udaipur, Pushkar s révérence encore le charme carnaval, la fantaisie romanesque de Bundi et? les havelis (demeures traditionnelles, richement décorés) arrosé par Shekhawati? les voir tous, et vous? verrez une mouche mois par plus rapide que l’express en partance pour le Pakistan.

Comme un microcosme de Mother India, là-bas?? Faune est aussi abondante et des gens chaleureux, paillettes et de chameaux, de la musique soul, saris chatoyants, turbans chancelants et une cuisine étonnamment riche.

Pourtant, Rajasthan? S population essentiellement rurale s’est lassée de sa propre passéiste image. Jaipur, la capitale vieux rose, est rapidement devenue un rythme rapide, la ville indienne moderne, et de l’alphabétisation a permis une progression rapide dans la région. Alors que le pays est toujours rude et les sécheresses sont une menace constante, les imaginations sont maintenant rivés sur l’avenir. L’État est divisé en diagonale la région vallonnée du sud-est et le nord-ouest aride.

Grand désert de Thar, qui s’étend sur la frontière avec le Pakistan? désormais accessible par le train. Le point culminant est atteint à la station de montagne du Mont Abu agréable. Rajasthan

FAITS MARQUANTS:

Faites-vous gobsmacked à Meherangarh, le majestueux fort de Jodhpur, la ville bluetinged.

Marvel à Udaipur belle, puis promenez-delà, dans les collines Aravalli

Allez à l’ouest et se perdre dans JaisalmerFort or.

Détendez-vous dans Bundi, une ville un livre d’images d’un livre de contes palais.

Détendez-vous dans Pushkar, une ville mystique autour d’un petit lac sacré, avec un de l’Inde? Foires s fabuleux.

Lecture aléatoire autour de Shekhawati et traquer il? Havelis décorés de fresques (s traditionnelles, résidences richement décorés)

Pensez rose:? Sightsee jusqu’à ce que vous pouvez voir et t Shop till you drop à captiver, Jaipur chaotique.

Camel Festival Bikaner

FESTIVALS DU RAJASTHAN:

Camel Festival (Jan; Bikaner) Tous les types imaginables de plaisir chameau. Nagaur Camel Fair (janvier / février; Nagaur) camel grave encore coloré et équitable le commerce du bétail qui attire des milliers de personnes en milieu rural.

Desert Festival (février; Jaisalmer) Une chance pour la moustache-Twirlers de rivaliser dans le désert de M.???? concours, et une foule d’autres délices du désert. Elephant Festival (mars; Jaipur) Parades, polo et humaine contre l’éléphant remorqueurs de guerre.

Thar Festival (mars; Barmer) Juste après le Festival Jaisalmer Desert, ceci comporte des spectacles culturels, des danses et de marionnettes.

Gangaur (mars / avril; Jaipur)? Un festival tout l’État honorer Shiva et de Parvati s aimer;? Il s célébré avec une ferveur particulière à Jaipur.

Foire aux bestiaux (mars / avril; Barmer)? Un plus grand du Rajasthan s foires aux bestiaux.

Mewar Festival (avril; Udaipur)? Udaipur version des Gangaur, avec manifestations culturelles gratuites et une procession colorée vers le lac. Femmes de la région de sortir leurs plus beaux atours.

Festival d’été (mai; Mt Abu) Si, comme un chien enragé, vous voyagez à travers le Rajasthan en été, consultez le Festival d’été, dédié à la musique du Rajasthan.

Teej (août; Jaipur Bundi) Palmarès l’arrivée de la mousson, et Shiva et Parvati mariage s?.

Dussehra Mela (octobre; Kota)? Commémore la victoire de Rama sur Ravana s (le démon de Lanka roi). Il s temps spectaculaire à visiter Kota -?? Des caractéristiques énormes justes 22.5m de haut-pétard farcies effigies.

Marwar Festival (octobre; Jodhpur, & Osiyan) célèbre héros Rajasthan à travers la musique et la danse, un jour est à Jodhpur et un en Osiyan.

Bundi Ustav (oct / nov; Bundi) Les programmes culturels, feux d’artifice et défilés.
Kashavrai Patan (oct / nov; Bundi et Kota) Détenus entre Bundi et Kota, ce festival voit des milliers de pèlerins descendent pour le mois de Kartika.

Pushkar Mela (novembre; Pushkar) The Pushkar Camel Fair est la fête la plus célèbre dans l’état, c’est sa congrégation massive de chameaux, les bovins, les commerçants de bétail, les pèlerins, les touristes et les équipes de tournage japonais?.

Kolayat Mela (novembre; Kolayat) tenue au même moment que Pushkar Mela, mais avec beaucoup de sadhus (des hommes spirituels) plutôt que de chameaux.

Chandrabhaga Mela (novembre; Jhalrapatan) Une foire au bétail et une chance pour des milliers de pèlerins se baigner dans la rivière sacrée Chandrabhaga.

Festival d’hiver (décembre, Mt Abu) met l’accent sur la musique et la danse folklorique.

En rajasthan – Tourisme helpline numéro 1363. La sécurité internationale d’assistance à la tourisme (tourisme de police) stationnée à des pièges à touristes. Le mensuel Guide de la ville de Jaipur (Rs 30) présente une liste pratique des restaurants et des magasins, tandis que Rose City Map & Guide est un compagnon utile pour faire du shopping. Les deux sont disponibles dans la plupart des hôtels et des librairies.

Voyage en Inde (quelques conseils que vous devez savoir avant d’arriver en Inde)

Le moyen facile de Voyage en Inde …

Si vous voulez tirer le meilleur parti de votre voyage en Inde, il ya certaines choses que vous devez faire et prendre en considération. Une fois que vous avez terminé, vous pouvez profiter d’un séjour en Inde qui peut réaliser tous vos rêves.

La première chose que vous avez à faire est de procéder à la lecture de fond sur l’Inde. Cela vous aidera à vous familiariser avec le pays étranger. Les conditions de vie en Inde sont également très bons. Vous pouvez trouver cinq et quatre étoiles hôtels là-bas qui offrent des normes internationales. Leurs aliments et le mode de cuisson peut rivaliser avec le reste du monde. Palaces ont valu un statut monde qui ne peut être comparé à d’autres hôtels dans le monde entier. Pour le voyageur de budget, vous pouvez vous enregistrer en hôtels trois étoiles. Vous pouvez également trouver des bungalows, gîtes touristiques de voyage, auberges de jeunesse, maisons de vacances, et YWCA / YMCA ‘s.

Pour un voyage sans souci, vous avez besoin de prendre des dispositions à l’avance. Les mois de Octobre à Mars sont considérés comme haute saison touristique. De mai à Juin est la saison des vacances Indien. Si vous avez l’intention de voyager au cours de ces mois, il est fortement conseillé de réserver à l’avance car à ce moment, il ya des commodités de voyage limités.

Si vous voulez, vous pouvez aussi apprendre la langue locale, mais l’anglais est utilisé dans tous les centres touristiques. Les habitants indiens sont sympathique et courtois. Maintenant, si vous trouvez regarde un peu rude, détendez-vous, si les gens du pays vous regardent parce que c’est tout naturel pour eux. Vous comprendrez plus sur les gens du pays avec l’aide de votre guide touristique.

La cuisine indienne est très différente de votre nourriture habituelle. Assurez-vous que vous mangez seulement une portion de plat indien à chaque repas. Mangez des fruits épluchés frais et les aliments cuits pour la plupart d’abord. De cette façon, votre système de corps peut facilement s’adapter à la cuisine indienne. Il est également souhaitable que vous ne buvez pas de boissons en bouteille, l’eau, le thé et le café. Les hôtels ont des systèmes de filtration, de sorte que vous ne rencontrerez pas beaucoup de problèmes.

Si vous prenez des médicaments, de l’acheter avant de partir pour l’Inde. Vous voyez, vous ne pouvez pas être en mesure de trouver la même marque de médicaments là-bas. Toutefois, les médecins locaux peuvent suggérer des médicaments de remplacement au cas où vous avez vraiment besoin des soins médicaux immédiats.

Lorsque vous visitez un temple ou un mausolée, assurez-vous que vous enlevez vos chaussures, sandales, ou des pantoufles. Il ya aussi des temples indiens qui ne permettent pas aux non-hindous pour entrer. Votre guide touristique sera celui d’expliquer ces sujets à vous.

Il est ordinaire, mais à lire les journaux au sujet de certains problèmes en Inde. Toutefois, cela ne devrait pas vous décourager de visiter un pays comme l’Inde. L’endroit est riche en culture et le patrimoine. Voyager en Inde peut venir qu’une seule fois dans votre vie, alors vous devriez profiter de celui-ci. Vous devez profiter de votre vie pendant que vous êtes en Inde parce que vous ne pouvez pas être en mesure de re-visiter à nouveau le pays.

Voyage en Inde est plus confortable et plus facile si vous avez un guide, donc réservez à l’agence de voyages à droite et obtenir le voyage organisé appropriée qui peut répondre à tous vos besoins de voyage. Assurez-vous que vous le faites à l’avance. Utiliser l’Internet lorsque vous menez vos recherches de sorte que vous trouverez plus sur l’Inde et son peuple. Faire de ce voyage un moment inoubliable et agréable.

Notre sélection des plus beaux Festivals du Rajasthan

Pushkar Mela

Pushkar Mela – (Novembre ; Pushkar) La foire la plus célèbre en Inde et l’une des plus importantes expositions de bétail au monde. Durant cinq jours, des centaines de milliers de commerçants et nomades investissent les environs du lac sacré pour exposer leurs plus belles bêtes agricoles : chameaux, chevaux, chèvres et vaches. Concerts, souvenirs, plats typiques et bijoux par milliers, sauront vous surprendre ! L’occasion idéale pour visiter la ville.

Jaipur Literature Festival

Jaipur Literature Festival–  (Janvier ; Jaipur) : Le paradis pour les amoureux de la littérature. Des prix Nobel aux écrivains amateurs, Jaipur Literature Festival est mondialement reconnu et rassemble les plus belles plumes au court d’une semaine riche. Agrémentée de conférences, de rencontres et de poésie.

Nagaur Camel Fair

Nagaur Camel Fair – (Janvier / Février ; Nagaur) : Un des plus gros événements de l’année au Rajasthan. L’atout principal de Nagaur Camel Fair est sans doute son caractère calme et définitivement local. Rassemblant plus de chameaux qu’à Pushkar, cet événement est populaire auprès des habitants des communautés rurales environnantes.

Desert Festival

Desert Festival – (Février ; Jaisalmer) Ce véritable carnaval culturel est célébré sur les superbes dunes du désert du Thar. Il regroupe des danses traditionnelles, de la musique rajasthanie, des courses de chameaux et même le concours de la plus longue moustache ! A voir absolument si vous êtes dans les parages.

International Kite Festival

International Kite Festival – (Janvier ; Jaipur / Jodhpur) L’un des plus beaux festivals en Inde et peut être le plus populaire après Holi. Durant deux jours, petits et grands font voler leurs cerf-volants colorés sur tous les toits de la ville. Le spectacle est saisissant et c’est un événement idéal pour partager un moment unique avec les locaux.

Bhoutan : Un Royaume Captivant

Prix ​​de départ: €1,780.00

Duración: 11 jours/10 nuits

Voir plus
bhutan Trip
bhutan-tour